Big Bang AR

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Bang pourrait marquer le début de l’Univers, issu possiblement d’une singularité.

Le Big Bang(« Grand Boum »[note 1]) est un modèle cosmologiqueutilisé par les scientifiques pour décrire l’origine et l’évolution de l’Univers[1].

De façon générale, le terme « Big Bang » est associé à toutes les théoriesqui décrivent notre Univers comme issu d’une dilatation rapide. Par extension, il est également associé à cette époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a 13,8 milliards d’années[2], sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. La comparaison avec une explosion, souvent employée, est elle aussi abusive[3].

Le terme a été initialement proposé en 1927par l’astrophysicienet chanoinecatholique belgeGeorges Lemaître[4], qui décrivait dans les grandes lignes l’expansion de l’Univers, avant que celle-ci soit mise en évidence par l’astronome américain Edwin Hubble en 1929[5]. Ce modèle est désigné pour la première fois sous le terme ironique de « Big Bang » lors d’une émission de la BBC, The Nature of Things le 28 mars 1949[6](dont le texte fut publié en 1950), par le physicienbritannique Fred Hoyle[7], qui lui-même préférait les modèles d’état stationnaire[8].

Le concept général du Big Bang, à savoir que l’Univers est en expansion et a été plus dense et plus chaud par le passé, doit sans doute être attribué au Russe Alexandre Friedmann, qui l’avait proposé en 1922, cinq ans avant Lemaître[9]. Son assise ne fut cependant établie qu’en 1965 avec la découverte du fond diffus cosmologique, l’« éclat disparu de la formation des mondes », selon les termes de Georges Lemaître, qui attesta de façon définitive la réalité de l’époque dense et chaude de l’Univers primordial. Albert Einstein, en mettant au point la relativité générale, aurait pu déduire l’expansion de l’Univers, mais a préféré modifier ses équations en y ajoutant sa constante cosmologique, car il était persuadé que l’Univers devait être statique.

Le terme de « Big Bang chaud » (« Hot Big Bang ») était parfois utilisé initialement pour indiquer que, selon ce modèle, l’Univers était plus chaud quand il était plus dense. Le qualificatif de « chaud » était ajouté par souci de précision, car le fait que l’on puisse associer une notion de température à l’Univers dans son ensemble n’était pas encore bien compris au moment où le modèle a été proposé, au milieu du xxe siècle.

En cosmologie, l’expansion de l’Univers est le nom du phénomène qui voit à grande échelle les objets composant l’Univers (galaxies, amas…) s’éloigner les uns des autres. Cet écartement mutuel, que l’on pourrait prendre pour un mouvement des galaxies dans l’espace, s’interprète en réalité par un gonflement de l’espace lui-même, les objets célestes étant de ce fait amenés à s’éloigner les uns des autres. À plus petite échelle, l’expansion n’affecte pas la taille des galaxies elles-mêmes, la gravité « intérieure » ayant un effet prédominant.

L’expansion de l’univers est la solution théorique trouvée par Alexander Friedmann pour rendre compte du fait que l’univers ne se soit pas déjà effondré sous l’effet de la gravitation. Elle permet de faire l’économie de la constante cosmologique, artifice introduit par Albert Einstein, fermement attaché à l’idée d’un univers statique.

Du point de vue observationnel, l’expansion se traduit par une augmentation de la longueur d’onde de la lumière émise par les galaxies : c’est le phénomène de décalage vers le rouge. Ce décalage n’est pas homologue à l’effet Doppler, qui est dû au déplacement à travers l’espace de l’objet observé ; il s’agit ici de l’expansion de l’espace lui-même. On parle de décalage spectral cosmologique.

La découverte de ce décalage vers le rouge est attribuée à l’astronomeaméricain Edwin Hubble en 1929, bien qu’il ait été implicitement mis en évidence 15 ans plus tôt par Vesto Slipher et prédit, voire mesuré, par Georges Lemaître à la fin des années 1920. De façon concomitante, l’interprétation physique correcte de ce décalage vers le rouge est donnée par la théorie de la relativité généraled’Albert Einstein, qui permet de décrire la dynamique de l’Univers dans son ensemble. L’expansion de l’Univers est de fait une vérification remarquable de la relativité générale, même si Albert Einstein n’y a pas adhéré initialement, tentant même d’en proposer une explication alternative, la lumière fatiguée, théorie depuis longtemps abandonnée.

La conséquence immédiate de l’expansion de l’Univers est que celui-ci était par le passé plus dense et donc plus chaud. Le concept du Big Bang, qui repose sur l’idée qu’une telle époque dense et chaude a effectivement existé, en découle naturellement et peut donc être considéré comme établi.

Du point de vue théorique, l’expansion de l’Univers est contenue dans les modèles issus de la relativité générale décrivant l’Univers dans son ensemble. De telles constructions sont appelées « modèles cosmologiques ». Les équations qui décrivent l’expansion de l’Univers dépendent des propriétés de la ou des formes de matière qui emplissent l’Univers. Elles s’appellent équations de Friedmann.

La constante cosmologique est un paramètre ajouté par Einstein en février 1917 à ses équations de la relativité générale(1915), dans le but de rendre sa théorie compatible avec l’idée qu’il y avait alors d’un Universstatique.

La constante cosmologique est notée \Lambda . Elle a la dimension d’une courbure de l’espace, en m−2. Depuis les années 1990, les développements de la cosmologie ont montré que l’expansion de l’Univers, interprétée en termes de masse et d’énergie, pouvait être attribuée à 68 % à une « énergie sombre »[1] dont l’effet est celui de la constante cosmologique. Le mécanisme suivant lequel cette constante se manifeste reste mystérieux ; sa principale conséquence est qu’elle induit une sorte d’anti-gravité. Elle a le même effet qu’une densité d’énergie du videintrinsèque \rho _{\Lambda }, associée à une pression négative.

Esquema de principios de siglo XX para un átomo de helio, mostrando dos protones (en rojo), dos neutrones (en verde) y dos electrones (en amarillo).

Una partícula subatómica es aquella que es más pequeña que el átomo. Puede ser una partícula elemental o una compuesta, a su vez, por otras partículas subatómicas, como los quarks que componen los protones y los neutrones. No obstante, existen otras partículas subatómicas, tanto compuestas como elementales, que no son parte del átomo, como es el caso de los neutrinos y bosones.

La mayoría de las partículas elementales que se han descubierto y estudiado no pueden encontrarse en condiciones normales en la Tierra, generalmente porque son inestables (se descomponen en partículas ya conocidas), o bien, son difíciles de producir de todas maneras. Estas partículas, tanto estables como inestables, se producen al azar por la acción de los rayos cósmicos al chocar con átomos de la atmósfera, y en los procesos que se dan en los aceleradores de partículas, los cuales imitan un proceso similar al primero, pero en condiciones controladas. De esta manera, se han descubierto docenas de partículas subatómicas, y se teorizan cientos de otras más. Ejemplos de partícula teórica es el gravitón; sin embargo, esta y muchas otras no han sido observadas en aceleradores de partículas modernos, ni en condiciones naturales en la atmósfera (por la acción de rayos cósmicos).

Como partículas subatómicas, se clasifican también las partículas virtuales, que son partículas que representan unpaso intermedio en la desintegración de una partícula inestable, y por tanto, duran muy poco tiempo.

Formation
Les différentes étapes de la formation du système solaire : contraction d’un nuage d’hydrogène et d’hélium, aplatissement du système, formation de planétésimaux, mise en route des réactions nucléaires au centre, apparition du système sous sa forme actuelle. Source inconnue.

Tout modèle de la formation du système solaire doit être en mesure d’expliquer l’état actuel de celui-ci. Avant de voir comment notre système s’est formé, rappelons donc quelques-unes de ses caractéristiques.

Le système solaire contient huit planètes. Celles-ci peuvent être classées en deux groupes : les planètes telluriques, de dimension et de masse réduites mais de forte densité (Mercure, Vénus, la Terre et Mars), et les géantes gazeuses, de dimension et de masse beaucoup plus grandes mais de faible densité (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune).

Les orbites des planètes autour du Soleil sont à peu près toutes contenues dans un même plan, appelé le plan de l’écliptique. Le système solaire apparaît donc très aplati de l’extérieur. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un observateur terrestre les voit toujours se déplacer dans une bande très étroite du ciel appelée le Zodiaque.

Le moment angulaire dans le système solaire

Une caractéristique importante car contraignante pour les modèles de formation est la répartition du moment angulaire. Cette grandeur caractérise la rotation ou la révolution d’un corps et s’obtient en combinant la masse, la vitesse de déplacement angulaire et la distance à l’axe de rotation ou de révolution.

La théorie montre que le moment angulaire d’un système isolé doit être invariable dans le temps. Le système solaire lors de sa formation avait donc un moment angulaire identique à celui que nous pouvons encore mesurer à l’heure actuelle. Par contre, la répartition du moment entre le Soleil et les planètes peut très bien avoir varié.

De nos jours, alors que notre étoile contient à elle seule 99 pour cent de la masse totale du système solaire, elle ne contient que 3 pour cent de son moment angulaire total. Ceci est un point très important qui permet d’éliminer les théories trop simplistes incapables d’expliquer la distribution actuelle.

La formation du système solaire

Passons donc à l’histoire de la formation de notre système. La description qui suit est un modèle globalement admis, même si ses détails font encore l’objet de maintes discussions.

Au départ, il y a environ 10 milliards d’années, ce qui deviendra un jour le système solaire n’est qu’une fraction minuscule d’un gigantesque nuage d’hydrogène et d’hélium qui poursuit son ballet autour du centre galactique.

Au fur et à mesure que le temps passe, ce nuage se contracte doucement et s’enrichit en éléments plus lourds lors de l’explosion d’étoiles massives aux alentours, ce qui explique que l’abondance actuelle d’éléments lourds est de l’ordre de 2 pour cent.

Finalement, il y a 4,6 milliards d’années, sous l’effet de sa propre gravité, ce nuage s’effondre sur lui-même et se fragmente en une série de nuages de dimension plus réduite dont l’un deviendra le système solaire.

L’évolution du protosystème solaire

Le protosystème maintenant bien défini continue à se contracter de plus en plus. Mais, d’après la loi de conservation du moment angulaire, si la taille d’un corps se réduit, sa vitesse de rotation doit augmenter pour compenser. La contraction du protosystème s’accompagne donc d’une forte augmentation de la vitesse de rotation.

De plus, comme le protosystème n’est pas rigide, un fort aplatissement se produit dans le plan perpendiculaire à l’axe de rotation. On se retrouve ainsi finalement avec une concentration de matière au centre, la protoétoile, entourée d’un disque de matière appelé le disque protoplanétaire.

C’est ici qu’intervient notre connaissance de la distribution du moment angulaire. Dans les modèles de formation les plus simples, le système solaire est le résultat d’une simple contraction d’un nuage de gaz en rotation. Mais ceci devrait se traduire par une vitesse de rotation du Soleil incompatible avec le fait qu’il ne possède que 3 pour cent du moment angulaire total.

En réalité, la protoétoile va être ralentie sous l’action de forces magnétiques. Dans les conditions physiques qui règnent à l’époque, une variation du champ magnétique entraîne automatiquement une variation de la distribution de matière et réciproquement – on dit que les lignes de champ magnétique sont gelées dans la matière.

Or les lignes de champ magnétique qui traversent le protosystème sont déformables mais seulement de façon limitée. Cette rigidité est transmise à la matière, ce qui crée un lien entre la protoétoile et le disque protoplanétaire. C’est grâce à ce lien que la région centrale est freinée et perd peu à peu son moment angulaire au profit du disque qui tourne de plus en plus vite.

Sous l’effet du ralentissement, la force centrifuge subie par la protoétoile baisse et finalement l’éjection de matière s’arrête. A partir de ce moment, les deux sous-systèmes précédemment liés ont une évolution indépendante.

Au centre, la protoétoile continue de se contracter et sa température augmente rapidement. Finalement, les réactions nucléaires de fusion se mettent en route et l’étoile que nous connaissons apparaît.

La formation des planètes

Dans le disque protoplanétaire, les atomes s’agglomèrent au fur et à mesure de leurs rencontres pour devenir des poussières. Celles-ci se regroupent elle-mêmes pour former des petits corps appelés planétésimaux. Cette étape dure quelques millions d’années.

Du fait de la turbulence dans le disque, des fluctuations de densité apparaissent et évoluent pour aboutir à des corps de grande dimension, dans un processus appelé l’accrétion. Ces corps continuent à capturer les planétésimaux qu’ils trouvent sur leur chemin et atteignent finalement le stade de planète.

La principale phase d’accrétion se termine il y environ 4,4 milliards d’années, même si d’intenses bombardements se poursuivent encore pendant un milliard d’années.

L’aspect final des planètes dépend de la distance au Soleil. Près de celui-ci, les éléments légers reçoivent beaucoup d’énergie et sont trop chauds pour se condenser. Le matériau qui constitue ces planètes est donc riche en éléments lourds, tels le fer ou le silicium, ce qui explique leur forte densité.

Loin du Soleil, l’accrétion de planétésimaux est à l’origine d’un noyau dense qui constitue le point de départ pour une croissance ultérieure. Autour de ce noyau s’accumule une enveloppe de gaz et l’on aboutit à une planète très volumineuse et massive, mais essentiellement constituée d’hydrogène et donc peu dense.

Le Big Bang pourrait marquer le début de l’Univers, issu possiblement d’une singularité.

Le Big Bang(« Grand Boum »[note 1]) est un modèle cosmologiqueutilisé par les scientifiques pour décrire l’origine et l’évolution de l’Univers[1].

De façon générale, le terme « Big Bang » est associé à toutes les théoriesqui décrivent notre Univers comme issu d’une dilatation rapide. Par extension, il est également associé à cette époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a 13,8 milliards d’années[2], sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. La comparaison avec une explosion, souvent employée, est elle aussi abusive[3].

Le terme a été initialement proposé en 1927par l’astrophysicienet chanoinecatholique belgeGeorges Lemaître[4], qui décrivait dans les grandes lignes l’expansion de l’Univers, avant que celle-ci soit mise en évidence par l’astronome américain Edwin Hubble en 1929[5]. Ce modèle est désigné pour la première fois sous le terme ironique de « Big Bang » lors d’une émission de la BBC, The Nature of Things le 28 mars 1949[6](dont le texte fut publié en 1950), par le physicienbritannique Fred Hoyle[7], qui lui-même préférait les modèles d’état stationnaire[8].

Le concept général du Big Bang, à savoir que l’Univers est en expansion et a été plus dense et plus chaud par le passé, doit sans doute être attribué au Russe Alexandre Friedmann, qui l’avait proposé en 1922, cinq ans avant Lemaître[9]. Son assise ne fut cependant établie qu’en 1965 avec la découverte du fond diffus cosmologique, l’« éclat disparu de la formation des mondes », selon les termes de Georges Lemaître, qui attesta de façon définitive la réalité de l’époque dense et chaude de l’Univers primordial. Albert Einstein, en mettant au point la relativité générale, aurait pu déduire l’expansion de l’Univers, mais a préféré modifier ses équations en y ajoutant sa constante cosmologique, car il était persuadé que l’Univers devait être statique.

Introducción

Historia

Materias de trabajo

Véase también

Referencias

Bibliografía

Enlaces externos

Wikipedia

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